lundi 27 novembre 2017

Bonjour la promotion saguenéenne...

Depuis quelques temps, j'écoute et entends comme plusieurs ; je suis révolté.

L'élection municipale assurait une transition féminine et de l'ERD depuis des lunes.  Même le maire sortant avouait à qui voulait l'entendre l'élection de Madame Néron.  

Cela n'a pas empêché l'establishment en autorité de Promotion Saguenay de préparer un protocole avec tous les scénarios imaginés même les plus machiavéliques. On se croirait devant un buffet avec bar ouvert depuis l'entrée de la maire de Saguenay dans l'office de PS.  

On apprend qu'une modification des règles de l'organisme a été entérinée en juin 2017 par son CA.  En changeant ainsi l'avenir de cette corporation indépendante, cela permettait de bétonner la suite des choses. Dans les faits, tous les contrats conclus entre PS et ses administrateurs entraient dans le cadre dit blindé des affaires de juin.

Je vous élabore une partie des tenants et aboutissants.   Juste le changement du DG de l'organisme devant se terminer dans quelques années et pour y mettre fin exigent la somme de 425000$, celui de l'une des administrateurs, 125000$ et pour tous les autres, à suivre...

Un des 3 signataires de cette organisation, presque incestueuse, avouera candidement ne pas avoir lu le contrat du DG.  Les autres sont pour l'instant exclus de l'équation.  Non, ce vice-président préférât accorder toute son intelligence à l'intelligence du maire-notaire de juin.

Passons l'assiette au beurre du buffet de PS.

Vous savez, les différentes commissions d'enquête ont révélé des us et coutumes laissant planer doutes et suspicions.  Remarquablement, personne n'a vu quoi que ce soit de tous ces stratagèmes sauf les sonneurs d'alertes, des maires et parfois des ministres. 

Pas n'importe lesquelles ministres, non, celui de la justice.  Il s'est fait entrainer dans une commission d'enquête entourant la nomination des juges, la Bastarache.  Oui, il démissionnera de son poste de ministre et plus tard comme député de Vanier.



Ce fin de semaine de novembre 2017 a permis à un parti de célébrer les 150 ans de son existence.

Le système de justice retardataire du Québec est un escargot propre propre propre.  Voilà pourquoi l'UPAC et autres procès économiques à venir trainent en longueur et échoueront de plus en plus en épave sous l'arrêt Jordan.  On dirait un casino d'une vieille vue western.

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Plus près de chez-moi...       

Si je ne vous l'ai pas dit, j'habite une coopérative d'habitation depuis une 40taine d'années.  Nous avons des Assemblées Générales, un Conseil d'Administration et son exécutif, des règles et des lois internes comme toutes les organisations qui se respectent.

Vous saurez que dans une coop, il y a toutes sortes de monde et de différents milieux.  Nous avons des professionnels, des journaliers, des mono-parentales, surtout des femmes et tous, avec des personnalités.  Je les connais presque tous et ce sont de bonnes gens.  

Néanmoins, chacun d'eux peut devenir administrateur, c'est un passage quasi essentiel. Alors, devenir administrateurs, c'est pas simple pour qui que ce soit sauf pour une personne expérimentée ou un officiel du droit.

Ceci m'amène à parler des décisions face aux grandes décisions.  Je sais, j'ai été sur ce CA pendant une dizaine d'années.  Ce n'est pas simple quand chacun a ses préoccupations familiales, son quotidien, un travail, ça ne facilite rien.  On doit à ce moment-là se référer, faire des recherches afin de prendre une décision éclairée.

Le conseil d'administration de ma COOP doit faire en sorte de procurer des outils afin de simplifier les recherches.  Oui, nous avons la 3D mais pourquoi s'en prévaloir si on peut...




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