Bachar el-Assad occupe depuis l'an 2000, le "trône" Syrien. On ne peut ignorer que la population en Syrie est de 18 millions habitants. Avant lui, son papa a régné sur la Syrie aux yeux de tous les diplomates, et ce, depuis 1970. Nous avons là, une sorte de dictature. J'ose affirmer que nous avons là, un califat, au même titre que DAESH ou ISIS avec quelques nuances, diplomatie oblige.
Depuis la dernière élection Américaine, celle de Trump, ou du sosie de Poutine, la géopolitique du monde a chaviré en un immense bordel zoo. Tout ça, afin de réduire marginaliser la diplomatie des états membres de l'ONU. Depuis quelques décennies, les décisions de l'ONU se pavent de bonnes intentions, comme ceux des Papes Chrétiens, comme François vêtu de blanc.
Le couple Poutine-Trump (2 présidents) dans l'arène se charge de mettre la table. Cette table ayant au menu un consensus la 3ème guerres mondiales méga-dépenses en vie humaine. Bof !
Depuis 2011, Bachar el-Assad roi-président bouscule toutes les oppositions. Je place un lien ici car tout ça est compliqué. L'histoire de cette guerre civile ressemble en tout point aux printemps arabes de la Méditéranée. Les frères musulmans font en sorte que la politique d'Afrique du nord bouillonne toujours. Cette tour de Babel Syrienne a été érigé par les puissants, ces ogres du pétrole.
La photo ci-haut a, à une autre époque, provoqué l'indignation. On a su plus tard que la scène avait été refaite. Il le fallait bien pour ameuter le globe ; un, pour faciliter la venue d'une migration sans nom vers l'Europe et deux, se distancer de la réelle cause de ces noyades migratoires en série.
Cependant, l'instrumentalisation se perpétue. Prenez 2013 ; des bombes biologiques interdites ont ameutés de la même manière toutes les personnes sensées sur terre. Pourtant. Ce 4 avril, un déjà-vu ignoble provoque la même indignation. L'instant d'après, Trump accuse le régime du calife Syrien.
Le même jour, l'offensive chirurgicale armée et politique Américaine comble de satisfaction le monde occidental et les opposants du régime Syrien. Aussitôt, Vladimir Poutine le sosie de l'autre et quelques nations, je dirais diverses, s'insurgent de cette réaction militarisée contre un état libre et souverain ? Passons.
Cependant, j'avance un argument intéressant entendu ce matin ; se peut-il qu'un des acteurs de ce drame politico-humanitaire, qui se déroule sur notre sphère depuis 2011, soit Poutine le sosie de l'autre ? C'était tout de même le responsable, en septembre 2013, du désarmement Syrien. Tout cela exigé par la Maison Blanche d'Obama. D'autre part, qu'avait à gagner ce Calife le dictateur Syrien d'arroser ainsi des enfants, des civils innocents ?
Le chef Russe Tsar ou le sosie de l'autre a dans le passé réveillé ou suscité des conflits. Plusieurs lignes rouges (OBAMA), pour tester l'hégémonie américaine. En 2013, la question se pose ; était-ce al-Assad le responsable de l'arrosage par armes biologiques ? La question hante encore. DAESH avec tout ce qu'elle a fait jusqu'à présent, pourrait répondre. En un mot, les preuves ne sont pas là. Les suppositions persistent bien malgré le dénie du régime Syrien.
Bref, pour les puissants et tous ces chefs les sosies grotesques, nous ne sommes que de la chair à canon, des prototypes humains domestiqués, prêts à céder leur place même si ce siège est hors de prix.
Patientons encore ...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire