Depuis 2000, un "roi" plébiscité genre trône sur un état de 18 millions de Syriens. Avant lui, son papa a régné aux yeux de tous, et ce depuis 1970. Nous avons là, une sorte de califat au même titre que DAESH ou ISIS avec quelques nuances, diplomatie oblige.
Depuis l'élection plus au sud du sosie de Poutine, la géopolitique du monde a chaviré en un immense zoo. Tout ça, afin de marginaliser la diplomatie onusienne comparable aux interventions de
François vêtu de blanc. Le couple (2 présidents) dans l'arène se charge de mettre la table. Les consensus de la 3ème méga-dépenses en vie humaine, bof !
Depuis 2011, le roi-président bouscule toutes les oppositions. Les printemps arabes méditerranéens advenus et inachevés ont bousculé aussi les syriens.
Les opposants aux régimes Syriens sont multiples. Cette tour de Babel n'en est pas une, elle a été érigé par les puissants, ne l'ignorons pas.
La photo ci-haut a, à une autre époque, provoqué l'indignation. On a su plus tard que la scène avait été refaite. Il le fallait bien pour ameuter le globe ; un, pour faciliter la venue d'une migration sans nom et deux, se distancer de la réelle cause de cette noyade en série.
Cependant, l'instrumentalisation se perpétue. En 2013, des bombes interdites ont ameutés de la même manière toutes les personnes sensées, pourtant. Ce 4 avril, un déjà-vu ignoble provoque la même indignation. L'instant d'après, le blond du sud accuse le calife Syrien.
Le même jour, l'offensive chirurgicale armée et politique adressée comble de satisfaction le monde occidental et les opposants du régime Syrien. Aussitôt, le sosie de l'autre et quelques nations, je dirais diverses, s'insurgent de cette réaction militarisée contre un état libre et souverain ? De nombreux analystes pointent du doigt une minorité alaouite de régner sur la Syrie. Passons.
Cependant, j'avance un argument intéressant entendu ce matin ; se peut-il qu'un des acteurs de ce drame politico-humanitaire, qui se déroule sur notre sphère depuis 2011, soit le sosie de l'autre ? C'était tout de même le responsable, en septembre 2013, du désarmement Syrien. Tout cela exigé par la Maison Blanche. D'autre part, qu'avait à gagner ce Calife Syrien d'arroser ainsi des enfants, des civils innocents ?
Le Tsar ou le sosie de l'autre a dans le passé réveillé ou suscité des conflits, des lignes rouges (OBAMA), en incident international pour tester l'hégémonie américaine. En 2013, la question se pose, était-ce le Calife Syrien l'auteur du 1er arrosage des armes biologiques ? La question hante encore. DAESH avec tout ce qu'elle a fait jusqu'à présent, pourrait répondre. En un mot, les preuves ne sont pas là mais la supposition persiste, malgré le dénie du régime Syrien.
Bref, pour les puissants et tous les sosies grotesques, nous ne sommes que de la chair à canon, des prototypes humains domestiqués prêt à céder leur place même si ce siège est hors de prix.
Patientons encore ...