"Assoyez-vous, Assoyez-vous, Assoyez-vous" disait l'air triomphant Lisée aux partisans pquistes.
Oui, aux 1erS regards, le type a de la crédibilité. Ce n'est pas rien, il siège en occupant le BANC que peu de parlementaires désiraient. Il n'a que 58 ans et d'apparence plus qu'acceptable ; sans complexe, disait avec justesse Madame Bombardier. Il a su se cultiver en fréquentant et en conseillant les personnages indépendantistes de son époque. Il a son blog. C'est un journaliste de carrière cumulant différentes fonctions bien en vue, car il est brillant.
C'est un homme de gauche mais pas assez pour Québec Solidaire. C'est un étapiste comme Claude Morin face à un référendum dit gagnant. Il ose à la limite des audaces pointues ; le parallèle Charkaoui-Cloutier. Assassine !
Prioritairement, saura-t-il, sans blesser, asseoir ses fantômes ? La lutte aux chefs du pq n'est pas banal. Un, elle a été interminable. Deux, les débats prirent l'allure de combats extrêmes. Ce genre laisse des plaies aux hauts du corps. Trois, avec les partiels, nous verront le flegmatique aristocrate à la langue distinguée. Ces lendemains seront intéressants pour qui s'en intéresse, dont je suis.
Le 1er de la Province apprendra assez tôt la honte qu'il éprouve de la gouvernance actuelle. Ce vis-à-vis a le verbe et ses rimes opéreront, sans artifices, telles un grand chirurgien. La période de question deviendra avec la couverture médiatique pquissantesque, une guéguerre métal sur métal comme l'adage du regretté Lapierre.
suite prochaine...
suite prochaine...
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