Ce dimanche, pour un catho, c'est la fête de la Sainte-Famille. Pour ceux qui l'ignoreraient, LA je dis bien La Sainte-Famille, c'est l'illustre trio composé de Marie, Joseph et Jésus.
Ma famille, que je nommerai Vaillancourt-Potvin, ci-dessus, n'est pas sainte bien que nous formions une belle famille. Notre famille remonte aux débuts des années 78. Bien, en calculant, on est rendu à 36 ans. Ce type de famille nécessite, pour qu'elle dure, des compromis et des négos. De plus, afin d'être bref, l'équilibre de la messe du dimanche est venu nous seconder pour que ça dure.
Ci-haut, ma première famille, que je nommerai Bouchard-Potvin, qu'elle non plus n'est pas sainte. Malgré que nous formions une belle famille vous avez constaté qu'elle n'était pas parfaite. Notre histoire n'est ni mieux ni pire que toutes les familles du monde sauf qu'elle aura été pour moi, la plus importante.
Et oui, elle m'a fait rire et pleurer. J'y ai vécu des moments inoubliables. Mes parents avaient cette qualité, de rendre les choses impérissables. Je crois bien que tous les parents, souvent candidement, n'ont pas conscience de tout ce qu'il lèguent, moi le premier.
Ceci dit, la famille Bouchard-Potvin a survécu à la tempête dévastatrice plus d'une fois. Imaginez, une seconde noce est venu la fortifier. Depuis, un membre est disparu mais il est toujours impérissable pour moi. Il a tant accompli et tant surmonté, ce ne peut être autrement qu'impérissable.
NB : Par le temps qui file, je suis à regrouper les idées héritées.
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