lundi 13 décembre 2010

Suédoises et Wikileaks... "clic"

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L'avènement à l'encontre de Monsieur Assange survient à point. Certes, on pourrait penser qu'un discrédit à son égard viendrait porter ombrage à toutes ces manchettes divulgués.

À qui paie le crime ?

Les deux suédoises, l'ombrage proprement dit, en passant une nuit avec lui, ce qu'elles prétendent, portent plainte. Le POST raconte la mésaventure vécue par les admiratrices du fondateurs de Wikileaks.

Au passage, la Suède possède une loi sur le viol, très nuancée. D'ailleurs l'état européen accepte un nombre de poursuites inégalées en occident (53/100000). Depuis 2005, la loi à cet égard amendait une simple agression sexuel par 3 issues possibles ; le viol aggravé, le viol et le viol de moindre gravité.

Le code plaidé pour exigé l'extradition d'Assange de Londres est le viol de moindre gravité. Un, Assange l'aurait, à l'insu de la femme de 31 ans, prise sans son consentement. De même, la seconde, lui reproche d'avoir refusé d'utiliser un condom à sa demande.

On a vue, par la suite, les réactions des uns et des autres dans le monde. Les défenseurs d'Assange arguent la conspiration tandis que les opposants seront plutôt silencieux. Ce sera par la voie de l'Internet qu'on étouffera Wikileaks, abandonner par son fondateur, du moins le croyait-on.

En tentant de mettre fin aux divulgations de Wikileaks, les états du monde contre-attaquent. Je dirais que nous assistons à une panique, et pourquoi pas, une censure. Ces censeurs agités reflètent un dévolu que l'on voit gros, à l'instar de la République Populaire Asiatique du Livre Rouge.

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