vendredi 17 avril 2009
AbBowater ? "AbB"
J’attends de voir l’aide de Québec pour compléter le billet ? Non ! Au Fédéral, un mutisme arguant l’Alena. D’ici, l’aide accordé aux grands de l’auto semble disproportionné. Bien que je sois toujours étonné par les dettes accumulées que peut détenir une administration (huit milliards avec des actifs de neufs et demi), la restructuration dans ce secteur est inévitable. Les 7500 employés au Québec, en région principalement, s’interrogent sur la capacité réelle de leur employeur. Ils ne sont pas seuls, puisqu’il y en a seize milles dans le monde. Neuf milles pensionnés peuvent aussi s’inquiéter des rentes qu’ils reçoivent. En écrivant ce billet, j’ai des souvenirs d’une époque où les dividendes rendaient heureux tous les détenteurs d’action. Parallèlement, l’écho des observateurs penauds de ce secteur qui invitaient à la modernisation des équipements, qui ne se réalisaient pas. La gestion forestière publique du Québec (35% par AbB) devra elle aussi passer par un réaménagement. Toutes les usines d’AbB ne fermeront pas. Les analystes précisent que tout de même la moitié de celles-ci fermeront. Jumelés à la crise actuelle, les régions devraient dorénavant subir ce que nos voisins du sud éprouvent depuis des mois.
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