samedi 27 septembre 2008
L’élection d’ici et d’à côté.
J’ai prédit courageusement un gouvernement majoritaire Cons. Le PM élabore par contre un tas de stratégies pour rester minoritaire. Un, les jeunes contrevenants, deuzio, les coupes dans le domaine des arts, aussi l’environnement et, plus insidieusement, les doubles discours, que ce soit en Français, l’English ou dépendant de la situation géographique. Je n’ai pas apprécié les remarques publicitaires caravanesques comme quoi, les votes pour le Blocs auraient coûté 350 millions de dollars, et ce inutilement. Un député, peu importe l’allégeance, a un prix. Je ne sais quel importance cela aura, mais Jean Charrest révélait à qui voulait bien l'entendre que le déséquilibre fiscal n'était pas résolu.
De même, Madame Verner fait l'objet de critique du Cabinet des Ministre du Québec.
Tout ce temps, les étatsuniens fourbissent des armes à crédits afin de résoudre un labyrinthe financier insolvable. Plusieurs économistes craignent pour l’avenir, car la complexité de ce gouffre demeure une énigme. McCain, du Republican Devil Party, repousse une cédule routinière en plaidant l’urgence nationale. Sa performance, depuis la nomination de Madame Palin, le ramène à des lieux de son adversaire Démocrate. Le débat de vendredi 26 changera-t-il la donne actuelle pour le moins crucial ?
Le fameux débat, que j’ai pu suivre en différé ici, laisse seul, deux hommes, qui n’ont rien de l’élite financière américaine, dénicher la solution. À quoi bon l’élite ? N’a-t-elle pas permis ce bourbier ? L’intrusion monétaire qu’on s’apprête à effectuer, avalisé par le Congrès Américain, ressemble à des étatisations communistes rejetées autrefois par cet état hors de tout soupçon.
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