dimanche 26 octobre 2008

Les Euros au hockey junior Canadien.

Plus de 90 hockeyeurs en provenance d’Europe évoluent dans les 3 ligues canadiennes. Seulement deux équipes au Canada n’ont pas cru bon investir dans ce potentiel. Trente-quatre organisations ont acquités les montants pour deux, et rarement deux Russes. Les motifs réels sont obscurs car on ne connaît pas les budgets attribués à ce chapitre. Les 13 pays représentés dans cet éventail de joueurs proviennent, pour la plus large part, des anciens pays du bloc de l’est. Il serait intéressant de pousser plus loin l’étude puisqu’un, en 2009, un cycle me semble déterminant, à ce jour. Les élus de cette année sont pour plus de 40%, Tcheks. J’aimerais qu’on m’explique tant d’égard pour ces jeunes sportifs. Ce pays a dix millions de population, c’est bp de monde, mais ils font quoi pour atteindre un tel niveau de jeu. En Slovaquie, pour 10 millions, on nous en envoie 10 et en Slovénie, 4 (LWH) avec 2 millions de population. Treize joueurs Russes viennent ici nous démontrer leurs talents mais avec une population de près de 150 millions, y a un manque à gagner. Un développement récent de ligues Russes intéressent les jeunes stars de cet état et le marché les paient suffisamment pour qu’ils y demeurent. Pourtant quelques équipes réussissent à les intéresser. J’attire votre attention sur ce rapport de donnée ; West 32 euros pour 22 équipes (-Brandon), l’Ontario en a 30 avec 20 équipes (-Barrie) et le Québec, dans la même proportion avec 18 clubs, 29 hockeyeurs.

Vox pop…

Vendredi en allant faire le plein, j’ai été interviewé pas un journaliste de la télé locale. Il voulait connaître mon opinion sur les pétrolières. Je le lui ai donné et voici en quel terme : « ils en mettent bp dans leurs poches mais que voulez-vous qu’on y fasse ? C’est comme ça. Si nous étions à leurs places nous ferions pareil. Toi, même avec ton micro, tu ferais pareil ». Le média n’a passé que la première section et vlan, j’avais qu’à la fermer. En même temps, les pétrolières agissent dans le cadre de la légalité. Les marchés, qui vous le savez ont aujourd’hui toutes les raisons, se foutent de la légitimité. « Allez, par ici la monnaie ! »

samedi 25 octobre 2008

Un retrait couteux, plus qu'un entêtement.

Stéphane Dion, en plus de retarder sa décision, renvoie sa sortie à un autre moment. Il dit vouloir assurer l’opposition Libérale en ce temps de crise financière. Plusieurs questions restent entières étant reliés à ce comportement, celui de l’obstiné. Laissons-là la psycho et l’introspection pour l’acteur principal. Cependant, que lui apporte son statue présent financièrement ? Je dirais de un, son premier revenu, celui de député, qui lui revient à 155 milles. De deux, celui de chef de l’opposition 75 milles et en trois, son allocation comme chef des Libéraux (75,000) et autres allocations. Pourquoi éviter le sujet ou plutôt, pourquoi ne pas en tenir compte ?

Minuit, l'heure du crime...

Je ne suis pas un spécialiste de la boxe et bordel de merde, à quoi me servirait-il de le prétendre ? La farce honteuse de cette nuit inflige à ce sport, une culbute à venir. Je ne comprends pas les décideurs d’avoir permis une telle bouffonnerie. Imaginez, pendant des années ont tente de reconstruire une crédibilité athlétique et du coup, presque plus rien.

dimanche 19 octobre 2008

Un plombier, une dame et 17 jours.

Les élections américaines se poursuivent dans un ultime sprint. En preuve, le dernier débat appartient au passé. Ce sera maintenant au tour des pubs et des sorties publiques, du travail de terrain. Dans l’une de ses promenades, Obama rencontrera-t-il d’autres plombiers de droite ? Cet homme de métier, l’image du rêve américain, deviendra soit un allié ou un ennemi. Les Démocrates ne devront pas se battre eux-mêmes, car le changement proposé pourrait être reporté. Le côté imperturbable du duo Obama-Biden bénéficiera d’un appui certaine à la condition de ne pas verser dans l’extrême. En exemple, une phrase d’Obama qui compare la Républicaine à, un cochon au rouge à lèvres, il en restera toujours un cochon. Cette joke de mauvais goût déplait à l’électorat féminin, qui appréciera les petits achats ordinaires au passage chez un Wall Mart. C’est bien ce qu’aurait fait Palin, ce mercredi. Elle s’est payé un bain de foule en arrêtant le bus de la campagne pour effectuer son achat, une boîte de couche. Les observateurs soulèvent maintenant un gain Démocrate et seul un tsunami renverserait les résultats. Les 8 swing states reflètent encore la fragilité des tendances, une volatilité comme la situation boursière. Ceci sans compter la solitude dans l’urne et le racisme de l’Amérique profonde. Je termine ce billet, en vous rappelant l’élection de Bush (2000) et l’état de la Floride. Intéressante non ?

samedi 18 octobre 2008

Varia retard...

Chefferie.
Suite à l’élection de mardi, que je baptiserai "la quatre trente-sous pour une piasse", je devine que Monsieur Dion lancera une nouvelle campagne au Parti Libéral du Canada. Les fans de ce parti en viendront encore aux grands déchirements. À mon humble avis, ce qui afflige ce parti, c’est la province de Québec ou/or the Québec option.
PM.
Monsieur Harper devra très vite analyser la question Afghane, dont personne ne parle. Puisque de plus en plus d’hauts-gradés souhaitent une augmentation substantielle d’effectifs (30,000) sans toutefois et je cite "croire à la victoire". Ces mêmes conseillers en rajoutent et proposent la négociation avec les Talibans. Son analyse devra porter surtout sur la position d’Obama tant qu’à la présence étasunienne en Irak et même en Afghanistan.
Etc…
Pour ce qui est de la gouvernance Canadienne et autres gestes politiques, les Cons auront tout le temps. Un sursis de deux et demi à trois ans me semblent envisageable sans qu’il n’y ait d’appel aux urnes.
Finance.
Les hommes politiques du globe recherchent des solutions. Comme à l’époque de la prospection, des gisements d’idées se formuleront en autant que chacun des travailleurs y contribuera comme jamais dans le passé. Le terme prolétaire retrouve tout son sens. L’American Dream nous aura entraînés dans ce vide de sens. Ce cul de sac ne ressemble-t-il pas à l’axe du mal ? Depuis septembre 2001, le monde s’enlise avec elle, jour après jour.
Adage.
J’admets qu’il y a le savoir mais aussi qu’il y a tout le reste…

lundi 13 octobre 2008

L’eugénisme légalisé.

En lisant ce texte, j’avise les lecteurs, d’un humanisme inapproprié, d’avouer leur eugénisme inapproprié. Dans l’histoire humaine, les civilisations ont opté à maintes reprises pour l’élimination des sujets dit handicapants ou encombrants. Déjà, chez plusieurs espèces animales, la mise à mort dès la naissance d’un rejeton faiblard, ne scandalise personne sauf les âmes sensibles. Laissons-là le monde animal et tournons-nous vers notre monde riche et structuré. En tout premier lieu, j’admets qu’il est préférable de voir un nouveau né, dès la conception, avec tous ses membres. L’anxiété naturel précédent l’accouchement, fait parti de ce projet désiré par la future maman et le futur papa. Ce, bien entendu, dans un monde idéal. Partant de là, toutes les manipulations de nos sociétés évoluées et opulentes ne doivent pas tomber dans la facilité eugénique ou l’élimination des sujets handicapants. La conception d’un être humain, désiré ou non, devra tôt ou tard être encadré par une loi qui ne laisse aucun doute. Je veux dire, assujetti d’une identité accordée dès la conception, peu importe les motifs. Il l’est déjà dans le cas des bébés désirés. Nos sociétés ne doivent plus banaliser la vie de l’être mais bien l’accompagner. Les effectifs médicaux actuels peuvent allouer à l’individu un suivi précis et adapté à toutes les circonstances ou presque. De même, nos organismes modernes s’appliqueront à bien évaluer le portrait parental et d’y apporter toute l’attention pour le mieux être de notre devenir. Les investissements accordés bénéficieront à toutes nos sociétés enrichies de ses nombreux sujets distincts et imparfaits, ne l’oublions jamais.

samedi 11 octobre 2008

Prodiges

Les prodiges se multiplient finalement. Certains nous surprennent d’autres nous laissent froids. Le premier que je vous présente ici démontre l’aisance et l’agilité. J’entendais Alain Lefebvre, le pianiste, illustrer la démesure Chinoise. Il nous dit entre autre avoir assister à un concours de virtuose classique en Asie. Trois milliers de jeunes gars et filles, aussi excellents les uns que les autres. À mon avis, celui-ci, même en moins sérieux, n’en est pas moins étonnant. J’ai été impressionné aussi du nombre de langues parlées par l’un de mes amis, 5. Sur ce sujet, j’ai regardé certaines références et il y a aussi des prodiges ; 62 langues, imaginez. Bonne ...

samedi 4 octobre 2008

C482

Les médias n'ont pas fait échos à ce projet. Pourtant, celui-ci revêt une grande importance au KébeK. Voilà pourquoi, je vous laisse un lien ici nous rappelant l'urgence d'agir. Au Saguenay, je voie de nombreux établissements commerciales anglicisant. Il y a bien dans la restauration des exemples insidieux, que j'encourage même à l'occasion, Subway. Des commerces comme Future Shop qui sont aussi de grande achalandage au KébeK J'évite cependant les commerces qui ont une appellation anglaise. J'espère que, et le plus tôt sera le mieux, voir les députés féféraux du KébeK, de toute allégeance serait l'idéal, refaire le débat de la C482.