jeudi 31 juillet 2008
Radovan Karadžić
mercredi 30 juillet 2008
Beijing ou 北京
Ce midi à la radio, Amnistie Internationale et son représentant, puis reporters sans-frontière avec Robert Ménard s’exprimaient sans restriction loin des frontières Chinoises en varlopant au passage le CIO. Ensuite ce fût un environnementaliste qui élabore sur l’état Chinois et ses 17 villes, les plus polluées sur la planète, rien que ça. Je savais depuis un certain temps, qu’un rattrapage économique aussi fulgurant causerait un tsunami environnemental. Les jeux de Pékin (北京) sont déjà baptisé les jeux du smog. Tellement, le soleil est soit bleu ou vert. Les responsables Australien, de l’équipe olympique du pays, donnent son aval à tous les athlètes refusant de participer aux épreuves. Tout au début, en 2001, à Moscou, la délégation Chinoise émettait de nombreux souhaits en ce qui touche les droits humains. Les rapports qui nous parviennent éclaboussent l’état le plus populeux de l’univers. Tous les droits, sans restrictions, sont l’objet d’oppressions quotidiennes. Les interprètes, lors de ces jeux, seront tous de la police secrète, alors prenez garde. Ceux-ci disent tous que tout va bien, tant et si bien que le smog serait un brouillard inoffensif.
L'OMC etc...
Je redoute comme la peste les grandes ententes internationales, et ce pour plusieurs motifs. Les négociateurs sont souvent des responsables bardés de fonctionnaires. Ceux-ci agissent selon des statistiques aux interprétations complexes. Prenez le Canada, l’Honorable Fortier se dit déçu de l’échec des négos à Genève, dans le cadre de l’Organisation Mondial du Commerce, qui concernent le Cycle de Doha. Tout près d’eux, les organisations Canadiennes affectées à l’agriculture se montrent ravies. La grande majorité des pays à la table des 153 présents se disent peinés de l’échec. Qu’en disent leurs organismes liés à ce domaine ? L’Inde et les USA sont les responsables de l’échec.
lundi 28 juillet 2008
varias
Météo
Nous avons expérimenté pendant 3 jours, les menaces météorologiques. Les pourcentages de prédictions par Météo-Média et autres pros des nuées rendraient incertain n’importe qui. De fait, la quantité de nuages et les vents changeants rendent les décisions estivales compliquées. Les activités externes exigent un avis de dernière minute. Patientez !
Les distances.
Dépendamment des motifs de vos déplacements, la distance virtuelle à parcourir variera. Ce n’est jamais important, car trop d’empressement éloigne l’arrivée. Les hôtes, soyez persuasifs surtout et négligez la rectitude, cela vaut mieux.
Les Chtis
Le film du nord français est arrivé en salle Québécoise, il était temps. J’en ai fait mention en début d’année. Je ris encore, des extraits visionnés. À mon avis, ce n’est pas du cinéma de salle. Ce qu’on est bien chez-soi.
Le tour.
Cet été, je n’ai rien vu de l’arrivée à l’Élysée. A-t-on le vrai gagnant ou le détrônera-t-on ? Ah ces Espagnols…
Les routes tuent ?
A mon expérience, tout conduit vers la mort, rarement les choses inertes. Au Kébek, depuis le début des vacances de la construction, vingt morts, dément non ?
Un Sasquatch.
Deux femmes l’ont vu en allant aux bleuets. Ce bonhomme était-il malheureux avec ses 6 orteils ?
samedi 19 juillet 2008
Sir Paul McCartney.
En envahissant les plaines, les fans de Paul McCartney des Beatles (à mes 17 ans) négligeront tous les symboles historiques. L’objectif recherché par les organisateurs, présenter les plus grandes stars du firmament du rock pour les célébrations du 400ème ; une organisation, des fans et une star des plus populaires de l’histoire du show business, une recette parfaite et un coup superbe. Cependant, je n’oublie pas la venue de Sir McCartney et son ex, Heather Mills sur la banquise d’un blanchon ; une autre symbolique. Je lui répèterais au passage que les chasseurs des îles de
samedi 12 juillet 2008
6 jours…
Ces derniers jours, j’aurai tenté moult fois, d’élaborer un thème, une idée pour ce blog amaigri. Je m’essayai sans trouver de filon. Hier soir, j’en possédais un, ma tour noire elle, n’en retenait rien. Alors, je persiste et signe ce billet mûri par une nuitée d’accalmie relative. Ah oui, la veille je faisais allusion à mon boulot, mon casse-croûte. C’est la ruée toujours, un Klondyke apparent dû aux vacances décrÉtats. J’ajoute les Retrouvailles 2008 et tout ce que cela entraîne car le défi demeure intéressant à souhait. Le répit obligé gruge dans la case disponibilité, il faut bien se refaire. En fin de compte, me voilà ce matin avec un filon qui m’obsède depuis des lunes, la mémoire de mes gènes. Ce phénomène, je le considère comme tel, me prédispose à des attitudes faciles. Un exemple, la bonne humeur ou voir le bon côté des évènements. Je n’ai aucun mérite, c’est comme ça. Ce constat m’a été révélé avec une éloquence déconcertante à travers un document traitant des tortues de mer. A mon avis, c’est un phénomène du ressort de la génétique et j’élabore. Lors de l’éclosion des petits de la maman tortue, tous les rejetons sortent du nid, même enfoui sous un mètre de sable, en se dirigeant vers la mer. Ils ont pas bouffé, filé vers le pré le plus près ou bretté dans ce trou tout chaud d’éclosions multiples, non rien de tout ça. Les prédateurs de bébés tortues se paient même le ptits dèje lors de la fuite sur la plage interminable. Tout ceci reste de l’instinctif, on s’entend, mais la génétique renferme tout cela. La beauté des gens, l’artifice qui fait rêver les gens pas gâtés, ça, c’est génotypique. À mon avis, personne ne devrait s’en targuer…
J’y reviendrai…
samedi 5 juillet 2008
Jaco Pastorius
En virevoltant sur le net, j’ai découvert un musicien sublime et torturé. Jaco, le bassiste, présente ici une pièce hors du commun, Slang. Je perçois son jargon mélodieux et son dialecte déchirant lors des crises. Il me semble que la fin de sa courte vie dévoile bien une personnalité torturée. Souvent, les musiciens ressentiront d’un autre, le génie de l’instrument. Ce sera d’ailleurs l’étiquette de meilleur bassiste de tous les temps et du dernier vrai bassiste du jazz contemporain. La fin trouble dans laquelle il s’engouffre, illustre la souffrance intrinsèque mais aussi la complaisance innée de l’enfermement en soi. La tragédie innommable de ces malades, disons-nous, cache bien des mystères. Un ami musicien me raconte un jour qu’il avait connu un phénomène musical accroché à son instrument, même s’il ne l’avait plus, il en jouait sans cesse…
vendredi 4 juillet 2008
Ces mesquins chez-nous…
Champlain naviguait un rêve d’espoir. À notre époque, ce serait un astronaute voguant sur nos satellites modernes. Il y ferait ce qu’il avait toujours fait, découvrir et habiter. Ces nombreux voyages (21) auront fortifié son rêve d’une réelle fondation surtout le long du fleuve ; d’abord Tadoussac puis Québec, avec son cap, une cime de fortification à
mardi 1 juillet 2008
Oh Michaëlle…
Je n’essaie rien, car je suis touché autrement dans mes tripes. Le coast to coast ne m’a jamais séduit et je ne peux m’imaginer ce jour. Le moment qui me fera apprécier la feuille n’est toujours pas là, mes la fleur si, elle fleurit toujours… Le bleu du ciel m’émerveille et encore en ce jour, j’étais heureux de travailler, de boulotter avec me collègues, loin des cornemuses et des tutus, des chapeaux sombres-poilus, de ces coups de canons qui transgressent les peuples étrangers et de ses sénateurs aux milles courbettes et des je vous aime au jour J, notre jour J tout bleu envolé comme des oiseaux migrateurs. Voilà, ce qui est dit est dit.
Je me souviens…
Oh Michael…
Je n’essaie rien, car je suis touché autrement dans mes tripes. Le coast to coast ne m’a jamais séduit et je ne peux m’imaginer ce jour. Le moment qui me fera apprécier la feuille n’est toujours pas là, mes la fleur si, elle fleurit toujours… Le bleu du ciel m’émerveille et encore en ce jour, j’étais heureux de travailler, de boulotter avec me collègues, loin des cornemuses et des tutus, des chapeaux sombres-poilus, de ces coups de canons qui transgressent les peuples étrangers et de ses sénateurs aux milles courbettes et des je vous aime au jour J, notre jour J tout bleu envolé comme des oiseaux migrateurs. Voilà, ce qui est dit est dit.
Je me souviens…